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Le 15 octobre 2018, le tout nouvel hôpital AZ Sint-Maarten de Malines a non seulement accueilli ses premiers patients, mais 688 INO ont également fait leur entrée.
Le secteur des soins de santé ne se porte pas bien. En d’autres termes, l’inquiétude des prestataires des soins de santé quant à l’augmentation de la pression du travail, au manque de personnel, à l’incertitude liée aux mesures politiques, ne fait qu’augmenter. Si aucune solution n’est disponible dans l’immédiat, certains s’attellent à en trouver une. Et pas seulement à Bruxelles.
Plus de travail, moins de personnel
Les centres de soins et les hôpitaux sont depuis des années déjà le théâtre d’appels à l’action pour alléger le poids du travail dans le secteur des soins.
L’an dernier, quatre infirmiers sur dix avouaient que, si tout était à refaire, ils choisiraient une autre voie professionnelle (De Standaard, 12/05/2018). Le manque de personnel et la trop forte pression du travail en sont les principales raisons. Le manque de personnel s’explique en premier lieu par le vieillissement de la population et un flux sortant de professionnels de la santé. Étant donné le nombre trop faible de nouveaux professionnels par rapport au nombre de départs, la pression du travail augmente. Et force est de constater qu’un autre phénomène accentue cette pression.
Le besoin de se décharger de ses soucis
De nos jours, les personnes âgées vivent de plus en plus longtemps chez elles. Elles ne partent en maison de repos que si les soins à domicile ou prodigués par la famille ne sont plus possibles. Résultat : les habitants sont moins mobiles et requièrent une attention particulière. Ça demande du temps, et du temps, personne n’en a. Les hôpitaux n’en disposent pas non plus car le gouvernement mise sur des séjours de plus en plus courts et plaide en faveur d’un nombre inférieur de lits (Knack, 07/02/2019). La question suivante se pose alors : « Comment le secteur peut-il encore assurer une prestation de services humaine et de qualité ? ». « Plus de moyens » et « plus de personnel », telles sont les revendications les plus entendues pour garantir la faisabilité du travail. Cependant, s’il investit de façon réfléchie dans du matériel innovant afin d’assurer la mobilité du patient – et le processus de guérison – le prestataire de soins peut déjà se décharger en partie.
De nouvelles solutions de mobilité
Les fabricants de mobilier de soins comme Moments répondent à ce besoin à l’aide, entre autres, de fauteuils de soins multifonctionnels. Le fauteuil INO peut être transformé en fauteuil fixe, mobile, de relaxation, de traitement ou de repos. Grâce aux différentes options et aux multiples accessoires disponibles, il se convertit facilement de la version « soins » à la version « à domicile ». Ces fauteuils constituent une solution alternative ergonomique et financièrement intéressante au lit. De plus, ils sont mis au point pour que l’utilisateur soit installé confortablement en toutes circonstances et que le prestataire de soins puisse travailler en toute facilité. L’ergonomie revêt ici toute son importance compte tenu du nombre de douleurs physiques dont se plaint le personnel soignant (qui est souvent amené à lever et soulever les patients). De nouvelles solutions de mobilité peuvent donc se révéler précieuses pour le secteur des soins de santé, même si elles ne constituent pas à elles seules le remède universel pour y ramener véritablement le calme.
Le 15 octobre 2018, le tout nouvel hôpital AZ Sint-Maarten de Malines a non seulement accueilli ses premiers patients, mais 688 INO ont également fait leur entrée.
Boire un café dans d’une maison de repos ? Et pourquoi pas… puisque c’est déjà possible dans les blanchisseries à la mode ou encore dans le lobby de certains hôtels ! Studio M a relevé ce défi et imaginé un concept d’intérieur « magique » pour rendre le secteur des soins de santé plus accueillant et agréable.
Événement B2B de référence, le salon Soins & Santé 2019 est la plateforme de rencontre incontournable pour tous les professionnels des secteurs (para)médicaux et de l’aide aux personnes.
La politique de contention préventive dans les centres de soins continue d’alimenter les discussions. Un rapport de la Vlaams Agentschap Zorg en Gezondheid (l’Agence flamande des soins et de la santé) a récemment démontré que plus de 40 pour cent des résidents sont maintenus dans leur lit durant la nuit (20 pour cent pendant la journée) d’une manière qui soulève certaines questions. Mais quelle alternative existe-t-il ?
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